Je ne sais pas. Peut-être que tout l’art d’Ostermeier réside dans sa capacité à sublimer le texte, à en extraire la part de sublime qu’on peut (toujours ?) y trouver. Car si au commencement du théâtre il y a le texte (et si vous me lisez régulièrement, vous savez que je conteste cette idée saugrenue qu’il […]