Avant toute chose, il y a la lumière et la couleur. Du noir et du blanc. Et puis les gants verts de Lulu. Le rouge de la lanterne, de sa robe de prostituée, et finalement de son sang. Lumière sur les visages, tantôt blafards, tels des ombres spectatrices, fantomatiques, tantôt d’un blanc éclatant, inquiétant, dramatique. […]